La CNAMS, 36 fédérations d’artisans

La CSFI a été créée en 1890. Elle regroupe des sociétés et artisans qui fabriquent, distribuent et exportent les instruments de musique et leurs accessoires associés. Elle accueille également des revendeurs, 6 associations professionnelles (le GLAAF, l'ALADFI, l'APLG, l'UNFI, la CSMM et Europiano) et compte actuellement 53 structures adhérentes.


La facture instrumentale française c'est :
 

• Une vingtaine d'entreprises (Buffet Crampon, Selmer, Vandoren, Marigaux, Lorée de Gourdon, Rigoutat, Camac…)
• Des centaines d'artisans et de revendeurs partout en France
• Environ 2200 emplois
• Pour 220 millions d'euros de chiffre d'affaires, dont 80% à l'exportation

La CSFI poursuit trois objectifs principaux :
 

• Le développement des marchés de la facture instrumentale en France et à l'étranger
• La défense des intérêts de la profession
• Le développement des pratiques instrumentales

Au plus près du terrain et des préoccupations des chefs d'entreprise
Créé en 1995, le CNEC est animé par des chefs d'entreprise, entrepreneurs de la Coiffure, présidé par Franck Provost, le CNEC est attaché à la défense du paritarisme et maintient en permanence la discussion avec toutes les organisations professionnelles représentatives.
Nourri de la réalité terrain de chefs d'entreprise, le CNEC accompagne les entreprises de coiffure et prodigue des conseils personnalisés à ses adhérents. Cet ancrage terrain permet également au CNEC d'être force de propositions et d'actions pour l'avenir de la profession et de préparer les jeunes à rejoindre le secteur. Le CNEC s'attache à faire entendre la voix et à défendre les intérêts de tous les types d'entreprises de coiffure, quelques soient leurs tailles, en réseaux ou non, franchisés comme indépendants, avec ou sans salarié.
Défendre les intérêts collectifs de toute la profession
Le CNEC, organisation patronale ouverte et constructive, intervient, argumente et fait entendre ses points de vue sur le dialogue social, la formation professionnelle et l'emploi, les textes réglementaires et les questions sociétales liées à l'implication de la branche dans le développement durable.
Acteur majeur du secteur, le CNEC est membre actif des différentes commissions paritaires. Le CNEC est particulièrement engagé pour apporter des réponses aux difficultés spécifiques des entreprises de Coiffure et s'attache à être force de propositions notamment sur les questions cruciales de la formation et emploi. Le CNEC met en place des partenariats qui aident les entreprises adhérentes dans leur gestion.

La FFPMI regroupe 700 adhérents sur tout le territoire national : employeurs, artisans et travailleurs indépendants exerçant la profession de photographe.

Cette fédération qui rassemble l'ensemble des syndicats régionaux et départementaux de photographes professionnels, est un syndicat représentatif assurant la défense de la profession auprès des pouvoirs publics.

La FFPMI est aussi force de proposition pour dynamiser les marchés photographiques et soutenir ses adhérents.

La FFPMI a su accompagner ses adhérents dans les mutations de la profession depuis plus 10 ans en étant prescripteur de formations de qualité.

La FFPMI organise un congrès tous les deux ans, l'occasion de décerner de nombreux titres et récompenses aux photographes dotés d'un certain savoir faire photographique.

La FFPMI est aussi un acteur important dans la rénovation des diplômes de la filière chambre de métiers.

La FFPMI défend l'intérêt des professionnels aux côtés de la Confédération Française de la Photographie dans le dossier de la photo d'identité et du passeport biométrique et entend faire valoir l'intérêt des photographes auprès du Ministère de l'Intérieur.

La FFPMI poursuit son évolution et est devenu un acteur incontournable dans le secteur de la photographie professionnelle.

Créée en 1939, La FNAT (Fédération Nationale des Artisans du Taxi) est une organisation professionnelle nationale dont l'objectif est de protéger les intérêts des artisans taxis en les représentant devant le Gouvernement et les instances publiques telles que l'Assurance maladie ou les Préfectures.

La FNAT participe aux décisions majeures qui concernent la profession de taxi : négociations des tarifs, discussions sur les nouvelles réglementations et les projets de loi, résolution des conflits…
Le syndicat s'organise par région et par département afin de faire remonter les actions et les revendications de ses adhérents auprès des décideurs publics. L'ensemble du territoire français, y compris les DOM-TOM, est couvert permettant ainsi à la FNAT d'être représentative de la profession de taxi en France.
La FNAT organise également des formations pour les taxis et publie « L'Echo du Taxi » magazine de référence de la profession.
Organisation du syndicat
La FNAT (Fédération Nationale des Artisans du Taxi) est organisée par antennes régionales et départementales qui ont la particularité d'être gérées par des chauffeurs de taxi en exercice. Confrontés aux mêmes problèmes que les adhérents et comprenant les enjeux, ils sont à même de répondre à toutes les interrogations des chauffeurs de taxi et de faire remonter les informations au niveau régional ou national avec la plus grande précision.
Le fonctionnement de la FNAT
Les organisations professionnelles départementales ou locales de la FNAT se réunissent au moins une fois par an en Assemblée Générale pour approuver les comptes, réfléchir à l'évolution de la profession et adopter la ligne politique pour toutes les questions d'actualité.
Tous les quatre ans, l'Assemblée procède à l'élection du Président, qui est le représentant national de la FNAT.
L'ensemble des organisations sont regroupées en treize circonscriptions inter-régionales où les départements membres élisent leur représentant, lequel siégera au Comité Directeur.
La FNAT est administrée par le Comité Directeur et un Bureau fédéral ; ce dernier, outre le Président, est composé de deux Vice-Présidents, d'un trésorier et d'un trésorier adjoint élus par le Comité Directeur.
La Commission de Médiation et de Surveillance, dont les membres sont élus par l'Assemblée, est compétente pour arbitrer les éventuels litiges et contrôler la gestion.

La FNOF, avec aujourd'hui plus de 4000 opticiens chefs d'entreprise, constitue la principale organisation patronale de la branche.
Initiateur de la convention CNAM de 2004 à laquelle plus de 97% des opticiens adhèrent et qui régit les relations avec les caisses de Sécurité sociale, la FNOF est également à l'origine de la réforme de 2007 qui permet à l'opticien de renouveler et adapter une prescription médicale pendant trois ans, qui reconnaît ainsi les compétences de l'opticien en matière de détermination de la réfraction.
La FNOF a toujours défendu une optique libérale respectueuse des amétropes et une filière de santé visuelle qui laisse au consommateur le libre choix de son opticien, de son équipement.
Ainsi, la Fédération a lutté contre la PPL Fourcade qui visait notamment à autoriser les mutuelles à pratiquer le remboursement différencié. De la même manière, la FNOF s'est battue contre la PPL Le Roux.
La FNOF se bat contre les réseaux développés par les organismes complémentaires qui n'ont qu'un but, créer une clientèle captive et interdire l'accès à l'innovation et à des produits de qualité par la maîtrise du reste à charge et la baisse des remboursements.
La FNOF entend promouvoir l'opticien par la définition du métier et la revalorisation de la formation, et faire reconnaître l'opticien comme un professionnel de santé incontournable dans la filière de soins visuels.
C'est pourquoi, la Fédération est contre toute idée de lier l'activité de l'opticien à l'existence d'une prescription médicale préalable systématique.
De la même façon, la Fédération a fait savoir qu'ouvrir le marché à des acteurs hors champs des professionnels de santé ne va pas dans le bon sens. Enfin, la Fédération se bat pour le renforcement de la formation initiale des opticiens et participe au développement de la formation continue.
 

La Fédération nationale de la Photographie est une organisation professionnelle qui représente 33 000 acteurs de la branche photo auprès des pouvoirs publics : artisans photographes, micro-entrepreneurs et entreprises industrielles et de services affiliés. Son objectif vise à créer les conditions d'un développement dynamique de l'activité des entreprises photographiques de France, quelle que soit leur taille.
Les missions de la FNP sont :

• Représenter nos membres auprès des pouvoirs publics.

La FNP est l'organisation patronale qui défend les intérêts des artisans, des chefs d'entreprises et des micro-entrepreneurs de la photographie (code NAF 74.20Z), signataire et négociateur des accords collectifs de la branche photo.
 

• Préparer les professionnels aux défis du futur

La FNP est l'interlocuteur patronal de la branche photo à la commission Paritaire nationale de l'emploi et de la Formation Professionnelle (CNPE FP). Elle contribue ainsi à développer des formations adaptées aux besoins des entreprises de photographie afin d'améliorer leurs performances et leur compétitivité.
 

• Organiser la formation professionnelle

En lien permanent avec le Forco et le FAFCEA, la FNP participe à la mise en place de nouveaux référentiels de formation en contribuant ainsi à développer des formations adaptées aux besoins actuels et futurs des entreprises de photographie et organise le financement.
 

• Protéger ses membres

La FNP est signataire avec les partenaires sociaux d'un accord collectif de prévoyance et de santé (porté par l'AG2R-La Mondiale).
 

• Diffuser les informations juridiques et règlementaires de la branche photo

Le site www.fnp-photo.fr délivre les informations indispensables aux dirigeants pour une bonne gouvernance de leur entreprise. La FNP relaie également sur son site internet les notes de veille du Conseil du Commerce de France et de la Confédération Nationale de l'Artisanat des Métiers de Services et de Fabrication (CNAMS).
 

• Défendre les intérêts des acteurs du secteur

Par ses liens avec les ministères et les institutions, la FNP défend les intérêts des chefs d'entreprise et de la profession. Lorsque c'est nécessaire, elle met en place les outils nécessaires afin de pérenniser et développer une activité essentielle au secteur. Elle gère entièrement et négocie avec l'Etat le déploiement des Identités Dématérialisées pour les cartes nationales d'identité et passeports.
 

• Promouvoir l'innovation et préparer les mutations du secteur

Le FNP est un organe de dialogue et de contact entre tous les acteurs actuels et émergents du secteur de la photographie. Partenaire des Assises de la photographie, organisées sous l'égide de la CNPE-FP, la FNP accompagne les chefs d'entreprise de la photographie dans la rapide transformation des conditions d'exercice de leur métier.

Le SRIC (Syndicat des Réparateurs Industriels de la Chaussure) est un organe de représentation des acteurs du secteur industriel de la cordonnerie et du Multiservices (fabrication et prestation), destiné aux employeurs de la profession.
Il défend les intérêts professionnels des entreprises de réparateurs industriels de chaussures et participe à la promotion ainsi qu'au développement des activités multiservices.
Créé en 1936, il représente :

• 350 points commerciaux
• 1 950 salariés
• 2 630 000 de paires de chaussures réparées chaque année

Les missions du SRIC

• Assurer la liaison entre tous les adhérents
• Gérer les négociations sociales avec les organisations professionnelles et syndicales
• Organiser des rencontres et des colloques annuels avec les acteurs de la branche
• Publier un observatoire économique
• Présenter des démonstrations d'évolutions techniques
• Représenter et défendre intérêts généraux de la profession devant les pouvoirs publics et les organisations professionnelles françaises et étrangères
• Veiller à la sauvegarde des principes d'honnêteté du travail, de confraternité et de loyauté commerciale qui sont l'honneur de la profession

Créée en 2012, l'Union Nationale des Taxis (UNT) se fixe pour objectif d'unir la profession en faisant fi des différences pour pouvoir la défendre au mieux face aux pouvoirs publics.

Les membres de l'Union sont, aux termes des statuts :
 

• Les confédérations ou fédérations professionnelles représentatives des artisans taxis, nationales, régionales, départementales ou territoriales.
• Les organisations, corporations, associations ou groupements professionnels nationaux, régionaux ou départementaux et, plus généralement, toute association ou groupement qui a pour but de représenter et défendre les intérêts des artisans taxis.
• Les artisans taxis à titre individuel.

Une administration organisée autour de trois comités
 

• Le Comité des Fédérations Nationales, lieu de concertation et d'échanges, qui coordonne les actions des différentes fédérations nationales représentant les artisans taxis ». C'est également une instance délibérante, il peut faire « toutes propositions en vue d'améliorer les conditions d'exercice de la profession et de représenter les intérêts de celle-ci auprès des pouvoirs publics ».

 

• Le Comité des Régions, composé d'un représentant par région administrative, est un organe consultatif représentant les différentes instances territoriales. Il doit faire valoir les points de vue locaux et régionaux, c'est pour cette raison qu'il élit certains de ses membres pour siéger au comité exécutif.

 

• Le Comité Exécutif, représentatif de l'UNT est composé du Président et de plusieurs membres répartis dans différents collèges (Métropole, Hors métropole et Régions)

Ses objectifs de l'UNT :

Défendre tous les taxis d'une seule voix
Les artisans taxis ont des activités variées et n'exercent pas leur métier de la même manière s'ils travaillent en plein centre de grandes agglomérations ou dans les zones rurales. Loin de cette opposition et des clivages existants, l'UNT a choisi de défendre tous les taxis quelles que soient leurs spécificités.
Ainsi, ses deux chevaux de bataille sont les véhicules de tourisme avec chauffeur (VTC) dont la concurrence fait rage dans les grandes villes et le transport de malades assis (TAP) qui concerne essentiellement les taxis implantés dans les zones rurales.
La première vocation et le principe fondateur de l'UNT est de rassembler la profession et de faire qu'elle s'exprime d'une seule voix face aux pouvoirs publics. Cette volonté affichée en mars 2012, lors de la création de l'UNT, est toujours présente.
Accompagner la mutation de la profession
L'UNT a décidé d'accepter la nécessaire évolution du métier de taxi et d'aider la profession à opérer sa profonde mutation avant qu'il ne soit trop tard. Face à un environnement en constante évolution, le contexte économique produisant même sa brutale accélération, la profession doit adopter des comportements nouveaux vis-à-vis d'une clientèle avertie et de plus en plus exigeante.